Histoire à plusieurs! Venez, n'hésitez pas!

Rappel du premier message :

Je propose une histoire à plusieurs. J'écris le début, et qui veut écrit la suite. N'importe qui peut se taper l'incruste pour écrire l'histoire. Mais vous n'avez pas le droit de faire de double-post. Si vous avez écrit une partie, vous ne pouvez pas vous permettre d'écrire la suite, vous devez attendre que quelqu'un écrive la suite. Il n'y a pas de nombre de caractère recommandé, vous pouvez écrire autant que vous le voulez. Et aussi, il y a un truc avec ces jeux-là, c'est qu'ils sont interminables. Donc, on va dire que l'histoire doit prendre 15 post. Celui qui veut écrire alors que déjà 14 bouts d'histoire ont été faits, il doit conclure l'histoire. Donc, je commence:

Il était une fois une femme qui accoucha d'une petite fille entièrement faite de poussière. Sa peau de poussière était grise et sale; s'effritait et se reconstituait sans cesse. Ses petits cheveux étaient noirs et gras. Ses prunelles d'un gris profond reflétaient une profonde mélancolie.
Son père et sa mère ne l'aimaient pas beaucoup. Ce n'était à leurs yeux injustes qu'une souillon. Ils l'appelèrent Poussière.
A cause de sa constitution, le bébé risquait de s'envoler au loin au moindre courant d'air. Ses parents qui n'étaient pas des monstres... plutôt des gens comme les Dursley, ne voulaient pas la tuer. Elle fut enfermée dans une sombre pièce humide, sans fenêtre, équipée d'armoires poussiéreuses, et d'un simple lit. Cela pouvait paraître peu confortable et morbide, mais pour l'enfant, c'était parfait. Elle ne sortait presque jamais de sa chambre, et ne quittait jamais sa maison.
Poussière n'aimait pas allumer la lumière. Elle gardait toujours sa chambre dans le noir. Et la jeune fille se levait rarement, restant assise par terre, sans bouger. Comme si elle attendait, et pourtant elle n'attendait rien.
C'est ainsi que Poussière grandit: toujours par terre, dans la pénombre.
Ses parents ne venaient jamais la voir. Sa mère passait quelque fois lui apporter une soupe trop froide ou trop chaude lorsque sa fille ne voulait pas les rejoindre à table, ce à quoi ils n'insistaient jamais.

Surtout que les happy end n'existe pas forcement et rester terre à terre est plutôt bénéfique...

Tiens ma princesse je vais te sauver!

Mais de quoi ?

C'était l'exemple

Ah ok...

Le hic c'est que la princesse à oubliée qui il était

.....

(d'habitude c'est moi qui met les points de suspensions X))

Fufufu~

Voleur...

Nan, un adorable petit chaton affamé!

Affamé de ?

Bah.... affamé... c'est tout.... de sang et de chocolat si tu veux....

Bon voilà des chocobons !
* Te tends un paquet*

Il était une fois un prince, qui était tous ce que l'on pouvait attendre d'un héritier. Il était beau, aimable, poli et juste. Mais, il cachait un secret que tous connaissait. Il était rongé par la maladie. Bien que des médecins passaient tous les jours, aucun n'avait trouvé de remède à ce terrible mal qui le consumait à petit feu. Ses parents désespérés, allèrent un jour consulter une bonne fée qui logeait au coeur des bois. Cette fée s'appelait Claire et n'était pas si bonne que ça. Elle ne fonctionnait que par échange. Les parents du jeune mourant allèrent donc la rencontrer. Après une longue heure de négociation ils arrivèrent à convaincre la magicienne d'accepter de soigner son fils mais, le prix à payer était lourd. Très lourd.

[HS,  merci! *prends les chocobons t'en donne un peu et en garde pour jm*]
Le prix était, la mémoire du prince, et son amour. Il ne se souviendrait de rien, plus de politesse, plus de justice, plus rien, ni les habitudes royales,  ni même son propre nom. En quelque sortes, la mort du prince. Et son amour... car il restera à l'éternité avec Claire, et il l'aimera et elle sera son seul amour, jusqu'à la mort du jeune héritier.

[ merci ^^ ]

Lorsque les parents arrivèrent au palais, leur fils était introuvable. Malgré son mal, il avait réussi à s'échapper du palais. Claire, rempli de colère, se tourna vers les parents du prince. Elle avait compris que le prince avait fuit. L'avait fuit elle. Alors elle prononça une malédiction ignoble :
" Votre fils malade nous a quitté ! Voyez vos vie une éternité durer ! Loin du jour, vous ne pourrez sortir qu'à la nuit tombée. Et de vos propres mains vous tuerez votre fils bien aimé !"
En entendant cette malédiction le roi et la reine fondèrent en larmes. Claire, dépitée retourna dans sa maison. Une fois l'horrible fée disparue les monarques maudits incohérent un messager trouver leur fils et lui dire de ne point rentrer.

Le prince ne comprenant pas décida tout de même de les écoutés, et se cacha dans un village très loin du château, dans un lointain royaume...

Le temps passa, le prince était devenu un menuisier fort adroit mais son pays natal lui manquait. Il n'était plus malade et chaque soir il regardait le ciel étoilé se demandant quand est-ce qu'il pourrait enfin revoir sa famille. Un soir, alors qu'il n'arrivait pas à dormir, l'humble travailleur partit dans les bois. Suivant un sentier éclairé par la lune, il arriva dans une petite clairière. Au centre, se tenait une petite maison en bois aux fenêtres éclairées.

Mais ce n'était pas chez Claire, mais chez la soeur de celle-ci, Augustine. Elle était magnifique, des cheveux blonds tels des rayons de soleil, des yeux en forme d'amandes d'une douce couleur bleu cobalt, des cils joliment courbé, des lèvres finement dessiné, ni trop grande ni trop petite. Elle était habillé d'un légère robe de soie bleu, qui s'accorder avec ses yeux. Elle était d'un tempérament calme et gentil. Mais elle pouvait s'emporter si il le fallait.

A la vue d'une telle beauté, le prince en tomba amoureux. Tous les soirs il venait contempler la jeune fille. Elle ne sortait de ses pensées et des qu'il s'éloignait il sentait la chaleur quittée son coeur. Un soir Augustine le découvrir. Son âme étant bonne elle l'invita à souper. Le prince poli accepta. Toute la nuit ils se parlèrent. Le prince fini par aborder sa maladie. Augustine, émue décida d'user de sa magie pour le guérir totalement. Le prince sentant les effets de la magie bienfaisante s'exclama:
" - Ma chère ! Pourquoi me sens je d'un coup si mieux ? Êtes vous une de ces fée dont on parle, capable de soigner tous les maux et d'exaucer tous les souhait ?
-En effet, répondit la demoiselle, j'en suis une. Et vous me voyez émue par votre si triste histoire. Je vous ai donc guéri mais en échange j'aimerai vous demander une chose.
- Eh bien allez-y demandez ! Je ne peux vraiment rien vous refuser !
- Serait-ce possible d'avoir votre amour ?"
Étonné le prince mit quelques instant à répondre :
" Mais chère Augustine, depuis le premier jour où je vous vit, mon coeur ne bat plus que pour vous ! Vous êtes si belle..."
Augustine le coupa en posant ses lèvres sûr celles du prince. Ils échangèrent alors un baiser remplis de passion. Le prince serra dans ses bras la fée et la couvrit de baisers. Augustine subjugué par la beauté de son amant s'abandonne entièrement à lui. Tout leurs corps n'étaient que flammes et désirs. Ils laissèrent libre court à leur passion et s'endormirent dans les bras l'un de l'autre alors que le soleil se levait sur un nouveau jour.

Mais c'est temps joyeux vont bientôt prendre fin. Claire, jalouse de sa soeur, avait décidé de se venger. Venger son amour non réciproque, grâce à la magie. Mais elle laisse trois jours de plus aux deux amants. Car dans trois jours, c'est son anniversaire.

"Le cyclamen guidera tes pas. Pendant trois jours tu marchera.
A la recherche de tes racines.
Alors tu deviendra victime,
Et ta mort brisera
le sort lancé autrefois."
Perdre son amour le jour de son anniversaire... Pourquoi fallait-il que la vie soit si cruelle ? Mais elle n'avait pas d'autre choix. Elle savait que jamais le prince ne l'aimerai et elle ne voulait pas voir sa soeur nager dans le bonheur alors qu'elle resterait malheureuse...

Les amants enfin se réveillèrent. Augustine, ne se doutant pas du sort que sa soeur avait jetée, descendit à la cuisine. Le prince la suivie mais, mu par un instinct incontrôlable quitta silencieusement la demeure et partit en direction de son royaume natal.